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Libérez-vous

Libérez-vous


« La liberté est un virus contagieux que personne ne peut arrêter »

« Ne pas lutter contre les sensations négatives. Constatez les, et efforcez vous de respirer calmement pour que la respiration masse le ventre. Cela évite que les sensations négatives s’installent définitivement et ne se transforment en énergie stagnante. »

« … chacune de nos sensations est intimement liée à l’énergie dégagée par cinq de nos organes : les reins, le foie, le cœur, la rate (et le pancréas) et les poumons…

Ils sont associés aux différents éléments , terre, eau, feu, métal et bois. Ces organes sont reliés à des méridiens (circuits énergétiques) qui véhiculent l’énergie vitale à travers le corps,; l’âme et l’esprit. Le reins et la vessie correspondent à l’eau, le fois et la vésicule biliaire au bois, le cœur et l’intestin grêle au feu, la rate et l’estomac à la terre, et les poumons et le gros intestin au métal. »

« Selon la loi des cinq éléments, l’eau fait pousser les arbres, le bois brule pour faire du feu, le feu se calme pour faire la planète (la terre), et de la surface des planètes peut être extrait le métal. Le métal fond et redevient l’eau.

En résumé l’eau nourrit le bois, le bois nourrit le feu, le feu nourrit la terre, la terre nourrit le métal et le métal nourrit l’eau. »

« La peur de l’échec peut concerner beaucoup de domaines, mais elle évoque le plus souvent la misère, la noyade, l’asphyxie, le manque d’amour, de respect ou de reconnaissance, la solitude, l’exclusion, la laideur, la médiocrité » et l’immaturité.

La peur de l’échec se manifeste de deux manières : la fuite ou la course à al réussite. En général, les deux manifestations se mélangent : l’individu se tue à la tâche tout en rêvant à un moyen de s’échapper. »

… N’essayez pas de lutter contre la peur de l’échec. Ce serait un peu comme si vous essayiez de vous donner un coup de pied. Vous sortiriez de cette lutte blessé, fatigué et encore plus angoissé par l’échec qu’avant.

Pour se libérez de la peur de l’échec, il faut d’abord l’accepter….« 

 » L’apitoiement sur soi n’a pas grand chose à voir avec l’environnement ou la situation dans laquelle on se trouve. Il peut vous envahir alors que vous vous sentez bien, dans un cadre agréable, avec autant de violence que si vous vous étiez trouvé dans un endroit sordide, le moral à zéro.

… On le sens toujours arriver. D’abord, on s’aperçoit que l’on ne se sent pas bien. Ensuite, on a envie d’être ailleurs, en général en compagnie de quelqu’un d’autre, et de faire quelque chose de différent. Puis le corps se crispe à force de résister à ce qui lui arrive. »

 » La solitude survient lorsqu’on perd le sentiment d’être relié au monde et à ses six milliards d’habitants. »

 » Lorsque vous doutez de vous, vous provoquez en fait une fuite d’énergie au niveau des reins, laquelle affaiblit votre réaction immunitaire et vous expose à toutes sortes de faiblesse physiques et psychiques. Quand vous êtes confiant, vos reins se détendent, vous cessez de faire pipi tout le temps, votre libido augmente et vos réactions immunitaires se renforcent. En dynamisant l’énergie dans vos reins, en particulier en la réchauffant, vous vous sentirez moins hésitant et plus sur de vous. »

«  La timidité n’est rien d’autre qu’une peur irrationnelle d’être rejeté ou humilié par des gens qu’on ne connait pas.« 

 » Acceptez ces fautes. Dites : « Je suis coupable de tel ou telle chose », et oubliez.

Oubliez parce qu’il n’y a aucune raison de souffrir. Il y a déjà eu suffisamment de souffrance à l’époque où vous avez commis ces fautes sans que vous en rajoutez encore. La personne que vous avez blessé, et vous même, ne tireront certainement aucun bénéfice de votre souffrance.

… Je ne dis pas cela pour vous inciter à nier l’importance de la douleur que vous avez pu causer. Je cherche seulement à vous faire prendre conscience de votre attitude sans que vous vous flagelliez pour autant.

Après tout, on n’apprend pas à être gentil en se faisant souffrir, notamment en tournant en rond toute la journée,; l’esprit rongé par la culpabilité. On apprend à être gentil en s’exerçant de façon consciente à être gentil : gentil avec soi même et avec les autres.

… Ce sentiment de culpabilité n’est probablement que la matérialisation d’une peur cachée, peur d’un châtiment divin, peur des représailles de la personne blessée, ce qui expliquerait pourquoi vous vous punissez à coup de honte et d’autoflagellation. C’est une manière inconsciente de vous racheter pour ne pas être puni, ce qui est de toute manière absurde. »

 » … Vous êtes envieux et vous le remarquez. Vous le ressentez dans votre corps. Vous respirez calmement, et vous l’acceptez. Ou bien vous laissez l’envie triompher et vous pousser à agir de manière destructive. Le premier cas de figure vous simplifie la vie, le deuxième vous la complique. »

« La rancune nait lorsqu’un sujet ou un évènement nous fâche ou nous laisse un sentiment d’insatisfaction. Nous essayons alors vainement de trouver une solution en intériorisant celles et ceux qui nous ont fait du tort puis nous les punissons en les bombardant d’énergie négative et destructive.

Mais lorsque nous intériorisons quelque chose, cette chose devient une partie de nous mêmes. Ce ne sont donc pax ceux qui nous ont fait du tort que nous punissions avec cette énergie destructive mais nous mêmes. C’est la raison pour laquelle ceux qui nourrissent des rancunes pendant des années deviennent malades, stressés et amers au point de ne plus être capables de profiter de la vie. »

« Les autres se comportent avec vous en fonction de l’image que vous leur envoyez inconsciemment. Si vous vous sentez persécuté par une personne en particulier, par un groupe de personne ou par tout le monde, c’est parce que vous vous tyrannisez vous même et vous vous projetez sur les autres l’image d’un opprimé. Dès que vous cessez de vous persécuter, vous n’aurez plus l’impression qu’on vous persécute.

Quand vous arrêtez de vous persécuter vous même, vous ne vous sente plus persécuté même dans les situations les plus difficiles. Quand vous ne vous imposez plus de limites mais au contraire permettez à votre esprit d’explorer tout l’espace, vous projetez inconsciemment l’énergie d’un développement sans limites et les circonstances extérieures vous renverront automatiquement cette énergie. »

« Vous ne ratez jamais une occasion. Ou que vous soyez, vous êtes toujours au centre de l’action. Plus vous croyez cela, plus vous serez au centre, et, par conséquent, plus les gens se sentiront attirés par vous, vous qui êtes en passe de devenir le meilleur aimant social du monde, car la nature tout entière s’organise autour de pôles solides…

Sentir que vous « passez à coté » implique quatre éléments : l’insatisfaction quant à votre situation actuelle, la crainte que la vie réelle vous ait largué, la perception tronquée de vous même, une mémoire défaillante.

Les situations ne paraissent bonnes ou mauvaises que comparativement à d’autres. »

« … vos enfants vous quitteront un jour ou l’autre et cela vous fera mal, mais une fois que vous aurez surmonté la douleur, une fois que vous aurez compris que la vie les porte dans ses bras depuis le début, qu’ils ne sont pas vous ni un prolongement de vous mais des personnes à part entière, une formidable liberté irradiera de tout votre corps…

Vous ne cesserez pas de les aimer. Vous les aimerez au contraire un peu plus à chacune de vos respirations. Simplement vous serez libéré de l’illusion que vous êtes responsable de chacun de leurs mouvements. « Ils » sont maintenant. »

« … focalisez votre attention sur la douleur, et la douleur grandira au point de prendre toute la place, et vous souffrirez à coup sur.

Focalisez votre attention sur le bonheur et le bonheur grandira au point de prendre toute la place, et vous serez libéré de la douleur. »

Libérez vous ! – 54 leçons pour trouver la liberté au cœur de soi-même – de Barefoot Doctor